Richard est contraint de rester dans son appartement. Tout, dehors, est arrêté. Face à cet événement, il passe beaucoup de temps dans sa chambre.
Partagé entre enfermement et liberté, plaisir d’absence de contraintes ou ennui, l’incertitude de l’avenir le plonge dans le questionnement du chemin parcouru et celui qu’il doit poursuivre dans la vie. Que faire dans l’avenir ? Comment continuer le bonheur d’exister et celui d’une vie pleine de sens et de gaieté ?
Dès lors, sa chambre redevient «la chambre d’enfant», celle où l’on construit le jeu, l’amusement, ou l’on invente.
Entretenant une correspondance avec un ami, leurs échanges révèlent un certain sens de la vie.